Compte rendu : Séance Givry

Voici le compte-rendu du groupe Vertivingstone sur Givry.

Givry blanc Domaine Ragot Les Champs Pourot 2006 (12,60 € Cave de l’inattendu)

Nez crayeux, boisé-noisette, fruits secs mais avec des notes végétales qui orienteront les optimistes vers des notes d’angélique et les pessimistes vers de la verdeur. L’attaque est relativement élégante mais la bouche est marquée par une dissociation peu avenante acide/alcool/gras. Acidité marquée Moyen.

 

Givry blanc Domaine Michel Sarrazin 2006 (12,90 € Cave du Beffroi – Lemaître)

Boisé, grillé fumé, vanillé, Irish Cream, Mie de pain. La bouche est assez riche toujours marqué par une acidité assez importante en fin de bouche. Bien

 

Givry Blanc Premier cru Domaine Joblot Clos de la Servoisine 2006 (23,40€ – Vino Vini)

Nez assez discret, vanillé. La bouche est très tapissante dotée d’une belle tension. Acidité toujours présente. Bien +

 

Givry Domaine Ragot Vieilles Vignes 2006 (14,20 € Cave de l’inattendu)

Nez animal (cuir tanné), prunelle, café. Bouche assez légère, jeunes tanins rêches et anguleux, acidité vive. No comment.

 

Givry Michel Sarrazin Sous la Roche 2006 (12,90 € Cave du Beffroi – Lemaître)

Cerise, fruits rouge. Bouche souple, finale sur l’amande et le noyau de cerise. Bien.

 

Givry Premier Cru Francois Lumpp Clos du Cras Long 2006 (20,93 € – Exception)

Nez marqué par un fruit très mur : crème de fruit, caramel un peu brûlé accroché dans la casserole, torréfaction. Bouche concentrée, « moelleuse », tendue, tanins fermes acidité toujours présente. Un équilibre gourmand qui se boit avec plaisir. Très bien

 

Givry Premier Cru Chofflet Valdenaire Clos de Choue 2004 (17,20€ cave Jules Verne)

Un nez très original… disons même curieux. On y trouvera de la cacahuète, du poix-chiche cru, une pointe de géranium, un côté épicé-brulé. La bouche est ronde et suave. Légère dissociation alcooleuse. Bien-

 

Givry Premier Cru rouge Domaine Sylvestre du Closel Clos St Paul 2005 (12,90 € Propriété/Salon)

Nez très étrange. Tout le monde s’est dit qu’est ce que c’est que ce truc là. C’est un vin qui a fortement divisé les participants. A ma droite : nez de diesel, détergent, moisi, brûlé, camembert. A ma gauche nez de fruits murs confits exotiques. Bouche assez concentrée mais soit marqué par de la verdeur pour les uns, soit convenablement souple pour les autres. No Comment / Bien + selon les participants

 

Givry Domaine Masse Le Champ Lalot 2005 (11,00 €- Propriété)

Nez assez discret, prune sous l’arbre, fruits rouges, myrtille, poivre, floral. Petite note de caramel. Bouche bien équilibrée ciselée, fine comme un beau Chambolle. Bouche encore un peu astringente mais les tanins sont fins. Acidité toujours présente. Très Bien ++ sans doute mieux demain. Beau rapport qualité/prix.

 

Givry Domaine Joblot Pied de Chaumes 2005 (17,94 € Aux 4 couleurs)

Café chaud, fruits murs, un côté végétal sans être péjoratif nous a marqué (ciboulette). L’attaque est dense élégante. L’alcool est un peu marqué. Belle longueur fruitée, cerise en rétro. Acidité toujours présente. Très Bien.

 

Givry Domaine René Bourgeon La Barraude 1999 (49,04 € magnum – Exception-vins)

Au premier abord le nez n’est pas super engageant : animal, feuilles décomposées. La bouche est convenable, on y discerne des notes de griotte. Acidité toujours présente. Bien.


En bref : trois domaines se sont distingués ce soir : le domaine Joblot, le domaine Masse et François Lumpp. Deux cavistes avaient fait le choix de nous présenter des cuvées de base a priori plus prêtes à la consommation plutôt que des cuvées plus parcellaires
. Force est de constater que ces cuvées de base ne nous ont pas emballé. Est-ce à cause de ces cuvées, du vigneron du millésime… nous l’ignorons. Nous avons été marqué par l’acidité présente dans toutes les cuvées goûtées en blanc comme en rouge… quel que soit le millésime et enfin, par des nez qui pinotent assez peu finalement…

 

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Compte-rendu : Blancs de Méditerranée

Dégustation de blancs secs méditerranéens à l’occasion de la séance Vertivinus du 7 mai 2009. 15 dégustateurs présents, chacun avait la possibilité d’attribuer 4 points sur l’ensemble de la dégustation. Dégustation non-aveugle mais prix  communiqués qu’à l’issue du classement.
Commentaires Romain.

 

Sicilia IGT La ferla Cépage Inzolia 2007 (Cave Jules Verne : 6.20€)

Nez assez discret mais élégant avec des nuances florales et un peu racinaire.

L’attaque en bouche est franche avec une rétro sur des notes balsamiques, de pêches fraiches. Un vin qui se montre gourmand sans tomber dans la lourdeur, une finale sur la pâte d’amande et le miel.

Assez Bien

 

Picpoul de Pinet Château Saint Martin de la garrigue 2007 (Cave Jules Verne 7.70€)

Nez encore fermé mais qui s’ouvre lors de l’aération sur des notes de fruits frais, d’herbe aromatiques et de mousse.

La bouche, très doite monter un coté citronné avec des arômes de banane, cerfeuil, d’abricot. Un peu court.

Assez bien

 

Collioure Blanc Domaine Bogoraze 2005 (Lafayette Gourmet Decré 8,90€)

Nez intense sur des notes évoluées évoquant le caramel au beurre salé et le pétrole.

Grasse sur l’attaque, la bouche reste marquée par un coté beurré et évoluée avant de s’éteindre assez vite laissant une impression de champignons (mousserons) en finale. Un vin qui semble clairement s’essouffler.

Moyen

 

Sicilia IGT – Azienda Agricola Beneventano Cépage Coda vi Volpe 2007 (Casa Vino – 7€)

Nez peu intense qui évoque l’herbe fraiche, le genêt, le buis et le lichen.

La bouche surprend quelque peu par une ambiance plus chaude avec des variations d’amandes, elle reste nette et plaisante. Bien fait.

Assez Bien

 

Sicilia IGT Firriato –AltaVilla della Corte Cépage Grillo 2007 (Casa Vino – 12€)

Nez plutôt intense avec des nuances de pomme, de menthol et de citron mais aussi des odeurs plus évoluées rappelant la réglisse, les herbes aromatiques, le citron confit. Une très jolie complexité.

Intense et franc en bouche, ce vin révèle une palette aromatique riche (citrus, anis, épices, poire mure) structurée par de beaux amers en finale avec des notes de gentiane. De la complexité et du caractère.

Très bien (8 points, le meilleur score ex-æquo de la soirée)

 


Bandol blanc Château de Pibarnon 2007 – (Cave de Longchamp – 20,10€)

Nez fermé avec un coté de fruits frais et des notes pierreuses.

La bouche se montre tranchante avec une acidité très nette, mais la structure aromatique conserve une austérité certaine, on distingue toutefois des notes de pierres mouillées, racines alors que la texture s’affirme riche et épaisse. Un vin qui montre indéniablement une jolie tension mais encore très fermé et jeune.

Bien (5 points)

 

Verdicchio dei Castelli di Jesi DOC Pievalta Barone Pizzini 2006 (Casa Vino – 12€)

Nez peu expressif, sur le fruit (agrume) avec un coté légèrement végétal.

La bouche s’avère assez épaisse sans tomber dans le pâteux avec des nuances de grillé, beurre, pêche de vigne et de pin. Une persistance agréable malgré une chaleur plutôt importante.

Bien (4 points)

 

Calvi AOC Clos Culumbu 2007 (Cave Jules Verne 15.30€)

Nez très intense sur des variations de bonbon, cédrat, citron confit, abricot confit et amande. Si on devine un coté légèrement fermentaire et une vinification plutôt moderne, l’expression reste remarquable d’intensité et de complexité.

La bouche est très épaisse dès l’attaque avec une structure aromatique en harmonie avec le premier nez, on retrouve également des notes de sauge et estragon.  Très persistante la bouche est soutenue par une belle amertume en finale. Beaucoup d’élégance pour un vin plutôt moderne mais qui évite l’écueil de la caricature.

Très Bien (8 points, le meilleur score ex-æquo de la soirée)

 


Toscane IGT Cantina di Pitigliano cépage Vermentino 2007 (Casa Vino – 7€)

Nez peu intense sur des notes racinaires, agrume et quelques nuances qui évoquent presque le fromage de chèvre frais.

La bouche reste sur la même tonalité aromatique avec par ailleurs des notes de citron, d’écorce et de cire. La matière reste cependant assez modérée tandis que ce vin se livre avec parcimonie mais il faut reconnaitre que ce Toscane se place entre deux vins puissants.

Assez Bien.

 

Ajaccio AOC Comte Peraldi 2007 (Cave Jules Verne 15,30€)

Le premier nez est sur la réserve avec une palette qui évoque la pêche, les fruits blancs et la cassonade.

La bouche montre d’emblée une remarquable pureté avec une structure aromatique riche sur les épices, pêche de vigne, curry, safran. Le vin laisse toutefois une impression assez chaude que vient tempérer une tension acidité/amertume bienvenue. Très long en bouche, on devine un superbe potentiel et beaucoup de classe.

Excellent (7 points)

 


Coteaux du Languedoc Château des Estanilles 2003 (Cave Jules Verne 9.60€)

Nez intense sur des notes dominées par des caractères de grillé et de fumée.

La bouche s’avère suave mais chaude, presque brulante et paraît un peu dissociée, la succession est difficile après une suite de vins plutôt jeunes et tout en élégance. La rétro se démarque par des nuances de grillé, de bois, vanille, miel. Un vin en puissance.

Moyen

 

Palette Château Simone 2006 (Cave Jules Verne 35€)

Nez très fermé et dominé par une expression qui évoque la cendre chaude.

La bouche s’avère marquée par le bois encore très présent avec des notes de vanille, chêne, raisins rôtis, fruits cuits, et craie. On remarque également un légère sensation astringente tandis que le vin monter une très belle puissance en bouche. Ne semble pas encore parvenu à maturité mais le potentiel est évident.

Assez Bien (mais l’assemblée a apprécié : 7 points)

 

Penedès DO Torres Fransola. 2006 Cépage Sauvignon Blanc (Lemaître cave du Beffroi – 23.60€)

Nez très intense et marqué par l’expression du sauvignon : genêt, bourgeons de cassis avec également des notes de citron.

La bouche est puissante, alcoolique et on retrouve ce coté bourgeon de cassis très intense, avec une épaisseur de vin non négligeable et une finale qui évoque le lierre et pourvu d’une acidité bienvenue.

Assez bien (5 points)

 

 

 

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Séance Rioja : Compte-rendu.

Direction l’Espagne avec une Séance Rioja.
C’est une belle séance qui aura marqué les esprits narrée par Romain.

Rioja Blanc- Marqués de Murrieta Capellania Blanco Reserva Rioja 2002

 – 13,71€ (www.Vinexus.de )

Nez : intense sur le coco avec des notes grillées, de bois, raisins secs, épices.

Bouche : On retrouve le même tableau aromatique soutenu par une amertume nette et une légère astringence en finale, on souhaiterait un peu plus d’épaisseur, rétro sur le bois sec, le buis, pain chaud et la fleur d’oranger.

Assez Bien

 

Rioja Rouge – Viticultores Y Bodegueros S.l De Alava Altos de Rioja 2006 (Cave de Longchamp, 6,20€)

Nez : attaque franche sur du petits fruits rouges, une touche de poivre et de cuir mais sans lourdeur.

Bouche : acidité marqué lors de l’attaque alors que l’on retrouve un coté nettement poivré et un fruit rouge très « croquant ». La trame tannique, qui  semble avoir été soigneusement gommé, s’avère assez fine, on devine une vinification moderne, mais le vin manque toutefois de profondeur et de structure.

Assez Bien.

 

Rioja Rouge – Bodegas Pagos de la Buena Dartos 2006 (Cave de l’inattendu 6,75€)

Nez : intense et marqué par le fruit rouge frais, la fraise avec des notes florales qui évoquent la pivoine.

Début de bouche très rond et voluptueux, on remarque une certain chaleur alcoolique. La structure tannique semble assez lâche avec un grain grossier. La finale sur des nuances de fraises confites, de cuir manque de tension et reste dominée par  l’alcool.

Moyen

 

Rioja Rouge – Osoti Vina La Era Crianza 2004 (Monoprix Montparnasse 14.95€)

Nez assez intense sur des notes grillées, de coco, anis et mauve.

Bouche chaude avec une dominante d’épice (cumin), noyaux de cerise, confiture de fruits rouges. Les tannins se montrent accrocheurs mais frais et serrés tandis que l’acidité confère au vin une tension suffisante.

Bien

 

Rioja Rouge – El Coto de Rioja  El Coto Crianza 2003 (12.60€ Lemaître)

Nez assez intense caractérisé par un boisé bien perceptible et des nuances séveuses.

Bouche s’avère souple et suave avec une rétro sur le caramel, le fruits macéré et les herbes aromatiques. Les tanins sont très fondus à tel point qu’on ne perçoit qu’une fine trame très douce qui laisse vite la place à une acidité nette et franche. Finale sur ma myrte, le romarin,le cuir et la coco. Bien fait mais marqué par le bois.

Bien

 

Rioja Rouge – De Ayala Lete (Vina Santurnia) – Crianza 1995 (13€ www.bonjaja.com )

Nez légèrement réduit et discret qui n’est pas sans évoquer le poulailler et les lambics belge.

Bouche très grasse sur l’attaque avec une palette aromatique qui évoque les maquis, les herbes aromatiques et les vieux fruits cuits, on note également une chaleur notable.

Les tanins sont très fondus, leurs trame serrées et le grain très rond, la finale évoque presque le poivre long avec une impression d’épices et de sucre.

Bien

 

Rioja Rouge – Marqués de Murrieta Ygay Gran Reserva Especial 1998 (33.67€ www.vinexus.de )

Nez plutôt intense sur des notes de camphres, d’eucalyptus et d’arnica.

La bouche est assez ample mais avec une acidité tranchée, la structure semble de suite plus austère et radicale que les vins précédents.

La trame tannique est très serrée avec un grain fin et accrocheur sans être toutefois séchant. On distingue des notes de noyaux, pruneaux, cacao, sève et pin. Une belle tension en bouche bien que le bois reste un peu trop présent pour un vin de cet age, une finale avec une pointe d’amertume et des nuances de sauge.

Bien +

 

Rioja Rouge – Bodega Urbina Grand Reserva 1990 (18€ – www.bonjaja.com )

Nez discret mais complexe avec une pointe d’eucalyptus, d’encens, de cade, bois chaud et fruits secs.

La Bouche surprend par une sucrosité étonnante doublé d’un gras conférant presque un touché sirupeux au vin. L’expression aromatique reste complexe, marquée par la douceur et penche vers des nuances de café, cacao, paprika, myrte, coriandre, cannelle et banane séchée. La finale monter une acidité qui vient équilibrer la volupté initiale et rend le vin plus digeste qu’on aurait pu le croire de prime abord. Quelques notes florales sur la rétro. Assez étonnant.

Très Bien


Rioja Rouge – Bodega Muga Grand Reserva; PRADO ENEA 1989 (25€ – bonjaja.com)

Nez assez austère et fermé dans un premier temps avec un coté vieux bois et paille.

La bouche révèle un tanin encore vif et incisif. On identifie des arômes évoquant le noyau, le romarin, l’amande et l’estragon. La trame tannique reste assez sèche. Un vin qui demeure sur la défensive.

Bien

 

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Séance Premiers crus de Volnay et de Pommard

Immense merci à Elodie pour son remarquable “baptème de compte rendu”.

SEANCE LIBERTIVIN DU 21 AVRIL 2009

Volnay / Pommard

 

La réputation des appellations Volnay et Pommard n’étant plus à faire, un mythe est pourtant au cœur de cette dégustation. Et oui d’après les ouvrages sur la Bourgogne les vins de Volnay seraient plus des vins de femmes et par contre les vins de Pommard seraient virils et masculin.

C’est donc sur cette information que la dégustation à pu commencer.

L’équipe de libertivin va peut être détruire un mythe ce soir.

 

Pour information tout les vins on été carafé entre 2 et 3 heures.

 

Pommard Les Epenots 2003 Domaine Parent (29,95€ FAV)

Un nez très cuit, note de pruneau pour partir après sur des notes plus poivrées, épicées avec une note de clou de girofle.

C’est un vin peu complexe et subtil en bouche avec une puissance aromatique moyenne.

L’effet millésimes joue beaucoup et on a un vin pas typé “bourgogne”. C’est un vin à boire.

 

Volnay Taillepieds 2003 Domaine Bouchard (32,40€ FAV)

Un nez de mûre très présent ainsi que de vanille et de cuir animal.

Vin élégant avec une acidité qui permet une balance entre l’alcool et les tanins. Une puissance aromatique persistante.

On peut encore le garder 1 à 2 an sans aucun problème.

 

Pommard Les Pezerolles 2002 de chez Mme A.F. Gros (35,88€ Aux Quatre Couleurs)

Nez plutôt végétal avec une pointe de mûre et aussi de pruneau.

Vin plus vrai que les précédents avec une sensation d’alcool moins présente.

Vin léger et délicat mais qui n’est pas très expressif.

 

Volnay Taillepieds 2002 de chez Roblet-Monnot (33€ Cave de Longchamp)

Vin trouble puisqu’il est non filtré.

Nez fruité et frais. Les notes principale sont la griotte et le boisé sans être de trop mais aussi des notes acidulés.

Vin légèrement réduit, un temps plus long de carafage s’impose.

Forte puissance aromatique.

 

Volnay Santenots 1999 de chez Mr Mikulski (32,29€ Aux Quatre Couleurs)

Les notes qui ressortent sont le réglisse, le café et le caramel.

Nous sommes sur un vin corsé avec une sensation d’alcool trop forte.

[NDLR : problème de bouchon / bouteille déviante]

 

Pommard La Refene 1999 de chez Mr Dominique Laurent (51,43€ – Exceptions Vins)

Vin trouble car lui aussi est non filtré.

Vin fruité avec des notes d’anis, de rose fanée et légèrement animal.

Attaque agréable et fin de bouche légèrement acide.

 

Pommard Rugiens 1996 de chez Mr Dominique Laurent (Don de l’animateur)

Des notes de cerise et de pruneau ressortent malgré une sensation d’arômes fanés.

Puissance aromatique moyenne avec une pointe d’acidité.

 

Volnay  Les Caillerets « Clos des 60 Ouvrées » 1996 La Pousse d’Or (45€ Bonjaja.com)

Une couleur tuilé et des arômes réduits, chaud et alcoleux nous ont tous mit d’avis que ce vin était passé.

[NDLR : soucis de conservation ?]

 

En conclusion nous avons dégusté que des très bon produits et que ce soit disant mythe n’est vraiment que un mythe.

Pour ma part et une partie du groupe les vins qui sont ressorti sont :

Volnay Taillepieds 2003 Domaine Bouchard

Volnay Taillepieds 2002 de chez Roblet-Monnot

Eclatant Volnay Taillepieds de chez Roblet Monnot d’un longueur et d’une gourmandise remarquables

 

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Vertivinus – Alliance Chèvre – vins

Voici le compte-rendu de dégustation que j’ai rédigé “à froid” le lendemain de la dégustation comme je suis parti avec tout les fonds de bouteille… privilège présidentiel… faute de stock-options et de parachutes dorés, les dirigeants se retranchent sur les fonds de bouteille. Je n’ai pas pris de note sur les vieux Muscadet apportés par Alain Couillaud et qui n’ont pas démérités dans la dégustation. Immense merci à l’élevage caprin bio de la Galaxie au Loroux Bottereau de nous avoir accueilli. Et n’oubliez pas de leur rendre visite sur le marché de Vertou le Samedi matin.

Fiefs Vendéens Mareuil Mourat Château Marie du Fou blanc 2007 (8€ Cave de Pascal Luneau Vertou)

Nez modérément expressif. Fruits blancs, lacté, légèrement floral, noisette. Attaque très grasse, un peu retenue, bien fait, boisé encore un peu présent en bouche. Juste acidité marqué par des notes de zeste de citron en finale. Bien ++

 

Coteaux Giennois Joseph Balland-Chapuis 2006 (7,40 €  Le plein d’épices Vertou

Nez de chèvrefeuille, de citronnelle, fruité. Notes d’alcool à brûler légèrement métalliques à l’aération. Bouche beaucoup plus typé Sauvignon que le nez : végététale, buis, convenablement dense, acidité assez marquée Bien +


(le fief vendéen l’emporte sur le fromage frais face à un coteau giennois qui impose sa structure aromatique au chèvre. Les deux alliances marchent cela dit)

Alsace Grand Cru André Scherer Riesling Pfersigberg 2005 (Propriété : 12,50 € à l’époque… vient de prendre 2€ en un an)

Bombe aromatique d’une rare complexité : thym, camphre, citron vert. Eblouissant. Bouche ample, raffinée. Amer assez marqué. Finale florale Très Bien ++

 

Chablis 1er cru Vaillons Vincent Dauvissat 2003    (Aux Quatre Couleurs : 25,12 €)

Assez boisé au premier nez, pomme, brioche à l’aération. Belle attaque mure mais délicate, ronde caramélée. Supporte assez mal l’aération d’une journée (éthanal). Bien… un peu décevant au regard de la réputation du domaine.


(Le Chablis l’emporte sur l’alliance avec la tomme de Chèvre)

Muscadet Serge Batard Les Hautes Noëlles 2002 (7 € propriété)

Robe jaune foncée, nez marqué à l’ouverture par l’ananas, la vanille et la noix de coco… assez conforme aux nez de cette cuvée quel qu’en soit le millésime, à l’aération le nez se complexifie sur de l’arnica. Texture intéressante, bois assez marqué. Acidité assez élevée. Bien +

 

Sancerre Pascal Cotat Les Monts Damnes 2004 (Aux 4 couleurs 25,12 €)

Nez très droit, floral, gentiane, racinaire. Superbe bouche avec la plus belle tension en bouche de la dégustation. Une bouche qui se complexifie à l’aération. Acidité marquée. Encore un très beau potentiel. Il y a un vinificateur talentueux derrière ce vin. Excellent


(non noté ici, la meilleure alliance avec un chèvre affiné est un troisième vin : un très joli Muscadet de Sèvre et Maine 1999 du Domaine du Haut Planty apporté par son propriétaire Alain Couillaud)


Côtes du Rhône blanc Saint Cosme 2007

Nez très aromatique, fruits de la passion, banane, mangue, poire. Soupçons de caprylates d’éthyle au premier nez, léger gaz résiduel. Après aération bouche nettement fermentaire levure de boulanger, bière. Amer marqué. Décevant en l’état.

 

Vouvray demi sec Domaine de la Fontainerie Coteau les Brulés 2005 (8,60 € Propriété)

Nez plus discret, fin, fumé, racine d’Iris… on s’attend à un vin sec… et non point. Bouche onctueuse, dense, rétro fumée, sensation légèrement rôtie. (Botrytis ? Ce n’est pourtant pas la région). Plus de longueur n’aurait pas nuit, mais très beau vin et excellent rapport qualité prix. Très Bien ++


(Malgré un sucre un peu trop marqué pour le fromage, le Vouvray remporte l’alliance avec une pyramide affinée)

(le trio gagnant)

Maury Mas Amiel Vintage Blanc 2007 (18€ Cave de Pascal Luneau)

Nez assez floral, fruité… et à l’aveugle, la première comme la deuxième fois, je pense que je l’aurai mis dans les Sauvignon… curieux. Sucré, fermentaire, lui aussi… un petit peu de gaz carbonique résiduel finale acidulé sur du citron vert. Très jeune mais un beau potentiel et un bel équilibre. Très Bien

 

(11 € Vino Vini)

 

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Séance Nouvelle-Zélande

Le moins que l’on puisse dire c’est que la séance Vertivingstone sur la Nouvelle-Zélande m’a laissé une impression de violence. Violence des nez exubérants qui s’imposent, violence des bouches avec beaucoup de concentration, d’extraction, d’amers, de bois, de sucres parfois. Arômes « excitants » disait Jancis Robinson… je dirais… juste un vignoble un peu brutal (« qui déchire mes chemises mes futals » dirait Hubert-Félix)

 

Les quelques vins néo-zélandais trouvés chez des cavistes français ne sont que de douces copies des stars des guides que l’on peut se procurer dans d’autres pays européens. Le caviste français nous ménage.

 

East Coast Giesen Chardonnay (unwooded) 2007     (6,84 € www.vinexus.de)

Un vin aromatique intense sur des notes exotiques, fruits secs fin de nez un peu végétal. Bouche grassouillette et gentille. Bien

 

Marlsborough Sauvignon St Clair Vicar’s Choice 2006 (16,50 € Lemaître)

Roche claire, nez aromatique intense de genêt, de lierre légèrement citronné. La bouche offre encore des palettes de lierre. Assez grasse, très acide. Finale un peu courte.  Bien

 

Marlsborough Villa Maria Cellar Selection Sauvignon Blanc 2007 (14,29 € www.vinexus.de)

Nez très intense qui propose un premier nez exotique (mangue, litchi, banane) et un deuxième nez feuillu (lierre, rafle). Bouche ample très structuré avec un poil de sucre résiduel doté d’un amer à la limite de l’écoeurement. Premier vin de barjo de la soirée… Bien+ tendance « différent » (pour reprendre les termes de Romain) 
 

Marlsborough Kim Crawford Spitfire Sauvignon Blanc 2006 (19,47 € www.vinexus.de)

Nez d’une rare violence destiné aux personnes en phase croissante d’anosmie. Premier nez sur des notes de transpiration estivale… un Sauvignon roulé sous les aisselles. Deuxième nez sur des notes de genêt, floral. La bouche offre un gras superbe, une épatante fraîcheur en milieu de bouche et beaucoup de longueur. 2e vin de barjo. Quand on voit le vigneron on se dit que ma foi… pouvait-il faire différemment… Très bien ++ tendance « très différent ».
Kim Crawford source photo : http://www.winexmagazine.com

Marlsborough Staete Landt Chardonnay 2006
(15,48 € www.vinexus.de)

Noisette, bois, vanille, planche… un nez qui n’offre que du bois. Structure en bouche onctueuse tellement grasse qu’elle en est sirupeuse. Un Chardonnay un peu « bête de foire ». Moyen

Marlsborough Cloudy Bay Chardonnay 2005 (28,00 € Aux Bouquets du Sommelier – Carquefou).

Nez un peu plus fermé, « sourd » parfum d’amande, de bois qui s’amplifie à l’aération. Très belle bouche très intense. Crémeuse. Belle tension et petite sensation de « boule » en bouche comme certains beaux Chardonnay. Encore en devenir ; vin de garde. Très bien à ce jour… peut-être plus demain.

Martinsborough Burnt Spur Pinot Noir 2005 (19,48 € www.vinexus.de)

Retour dans la violence avec un nez de « Mon Chéri », de Gueuze lambic mais aussi d’étranges notes végétales (poivron rouge cuit, feuillage, fleurs)… un peu poivré aussi… un peu mentholé aussi. Bouche sucré, concentrée, lourde et amère (quelqu’un a dit cacao)… pas très fin dans l’ensemble. 3e vin de Barjo. Moyen.

Martinsborough Palliser Pinot Noir 2001 (26,00 € Lemaître)

Le nez oscille entre des notes de fruit cuit compoté (pruneau) et des arômes de cendre froide, de poussière. Début de bouche suave où apparaissent des notes de cerise à l’eau de vie qui font arguer à certains un vieillissement prématuré. Finale avec une pointe acide bien venue après le vin précédent. Cuir en rétro. Bien

Hawkes Bay Te Mata Awatea Cabernet Merlot 1998 (29,00 € La Provence)

Poivron, prune. En bouche c’est la surprise : les tanins ne semblent pas travaillés. On avait oublié ce que c’était… des tanins qui ne sont pas mal faits d’ailleurs. Assez denses… un peu secs. Toujours une sensation un peu sucrée qui dérange un peu le français. Bien ++.

 

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CR Découvertivin : les pratiques en viticulture

Voici un petit compte-rendu de la séance Découvertivin sur les terroirs consacré aux pratiques culturales. Une exploration de Savennières à partir des pratiques à la vigne de ses vignerons et des premières côtes de Blaye à travers 3 rendements à l’hectare.

 

Savennières 2006 Domaine Jo Pithon, la Croix Picot (18,75€ Cave de Pascal Luneau)

Tabac blond, boisé, bouche ample, grasse, juste amertume d’un vin de garde. Très bien

 

Savennières 2006 Nicolas Joly Vieux Clos (20€ Propriété)

Nez dominé par des arômes de pomme jaune et de poire, éthéré. Sensation d’alcool au nez. Nettement moins grasse que la Croix Picot de Jo Pithon, la bouche est marquée par des sensations cidrières qui marquent la vinification oxydative. Arrière goût fumé. Bien (j’ai vu pire finalement)

 

Savennières 2005 Damien Laureau Les Genêts.(13,35€ Cave de Longchamp)

Un débat a eu lieu sur l’intensité de l’arôme. Je l’ai trouvé moyennement expressif mais d’autres l’ont trouvé plutôt expressif. Arômes floraux. La bouche est dense et élégante mais j’ai la sensation d’un vin en train de rentrer dans une période de fermeture. Bien (à revoir).

 

Savennières-Roche-aux-Moines 2001 Château de Chamboureau Pierre Soulez Cuvée d’Avant. (7,95€ FAV)

Nez confit résolument balsamique (miel, cire, cédrat) avec un beau rôti qui semble marquer une vendange sans doute en partie botrytisé. Tout le monde s’attend à un moelleux mais c’est la bouche d’un vin sec, racé, puissant et élégant doté encore une fois d’un bel amer. Excellent. Superbe rapport qualité/prix.

 

Savennières-Roche-Aux-Moines 1989 Domaine Aux Moines (12€ particulier)

Nez dominé par l’alcool à bruler, l’éthanal. La bouche est simple avec une début de dissociation (sensation alcooleuse à l’attaque). Un vin en fin de vie. Moyen.

 

Savennières Coulée de Serrant 1990 Clos de la Coulée de Serrant Nicolas Joly. (30€ particulier)

Nez complexe d’où ressort à la fois une impression torréfiée (café) et un côté très « terrien » (humus, terre après la pluie, crottin de chèvre séché) et peut être une finale un peu citronnée. Bouche correcte assez élégante, encore assez puissante. Assez surprenant dans l’ensemble mais sans déviance. Bien / Très Bien.

 

Première Côtes de Blaye 2005 Château Bertinerie (7,51€ Propriété achat groupé)

Notes de jambon fumé, souple, facile. Bien

 

Première Côtes de Blaye 2005 Château Haut-Bertinerie (10,36€ Propriété achat groupé)

Nez de fruits noirs légèrement « terreux », Bouche charnue, gourmande doté de jolis amers et de superbes tanins d’une belle densité. Très Bien ++

 

Première Côtes de Blaye 2005  Château Haut-Bertinerie « Landreau » (13,40€ Propriété achat groupé)

Un nez encore trop dominé par son boisé d’élevage pour être réellement passionnant. Bouche d’une rare élégance… Bouche minérale, « assaisonnée ». Jolie mâche. Structure des tanins dense et particulièrement persistante. Vin de grande garde. Bel hommage au Merlot. Très bien aujourd’hui. Excellent voire plus, demain.

 

 

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Séance Piémont

Voici le compte-rendu de la séance Vertivingstone consacré au Piémont italien par la belle plume de Romain dont l’aversion pour le bois fait trembler les forêts.

Roero Arneis 2007  Giacomo Vico (26€ Casa Vino )

Nez : peu intense sur des notes légères de savon, fruits frais, pomme, poire, raisin frais.

Bouche : assez carbonique mais sur la même ligne aromatique avec beaucoup de fruits et encore un coté fermentaire. Bien que l’expression soit encore très contenue, la bouche reste très droite avec une acidité agréablement fondue qui soutient une matière correcte, finale un peu courte.

Bien

A noter que l’annonce de son prix a provoqué l’hilarité générale du groupe.

 

Dolcetto d’Alba 2007 Bera – (11€ Casa Vino)

Nez : assez intense sur des notes très poivrées et légèrement amylique.

Bouche : on retrouve une structure aromatique poivrée avec un gaz carbonique assez marqué, l’attaque s’avère acidulée puis très tendre en cœur de bouche avec des nuances de fraises, fruits frais, et légèrement herbacées (fougère), la trame tannique se montre assez discrète, fine et lâche. Un vin croquant sur une expression assez moderne.

Bien

 

Barbera d’Alba Superiore 2006 Bruna Grimaldi – (14,30€ cave Jules Verne)

Nez : Intense sur des variations plus dense et confites. L’aération exhale des odeurs qui évoquent le fumé, des nuances empyreumatiques, grillés (barrique) et légèrement fruits noirs.

Bouche : très marquée par une rétro sur le grillé, le bois et la vanille; les tannins sont serrés et assez fin, peu accrocheur et grillés, finale sur la cerise très mûres. Un vin bien fait mais d’expression assez classique.

Assez Bien

 

Barbera d’Asti 2003 “Ronco Malo” Bera Vittorio E Figli – (17€ cave Jules Verne)

Nez : assez intense qui semble encore sur la retenue avec des notes animales et de cuir, l’aération permet de révéler un  fruit très mûr, avec des nuances de pruneaux et noyaux de cerises.

Bouche : marquée par beaucoup de carbonique à tel point que certains se demandent si le vin refermente. On est frappé par une rétro sur du café très torréfié, prune séchée, cachou, fruits noirs confiturés malgré une impression légèrement acétique et acescente. La sensation de sucrosité s’avère surprenante en même temps qu’une épaisseur remarquable. La trame tannique est serrée et fine, se fondant bien lors de l’aération. Un vin déstabilisant, qui semble vivre et se mouvoir dans le verre se rendant ainsi insaisissable. L’impression en bouche est étonnante avec une épaisseur presque séveuse, beaucoup de mâche et une finale très réglisse (bonbon). Un vin qui divise l’auditoire.

Différent.

 

Langhe Nebbiolo 2004 Produttori del Barbaresco – (13,30€ Cave Jules Verne)

Nez : Assez intense avec des odeurs d’évolutions, herbes aromatiques, fumée et une sensation d’alcool.

Bouche : on est frappé par une trame tannique vive, serrée et rapeuse. Chaude et vineuse, la bouche ne montre toutefois pas une épaisseur importante. Le profil aromatique est sur l’évolution avec des notes de prunes cuites, fumée de bois, romarin, épices, bois.

Bien

 

Nebbiolo d’Alba 2004 Azienda Abbola (29,80€ les Saveurs d’Italie (Carquefou))

Nez : Intense sur la confiture de fraise, framboise avec des notes de cuir cassonnade et surtout de bananes cuites. Jolie complexité.

Bouche : sur la même partition aromatique, la structure tannique s’avère assez rappeuse, serrée et légèrement  séchante bien que mûre. Ce vin montre une épaisseur intéressante bien qu’un peu court, on aimerait presque une acidité plus pointue pour soutenir le tout. La finale est étonnante, très marquée par des arômes de bananes cuites et de pommes vanillées.

Très Bien. Jolie expression.

 

Barbaresco 2004 Bera (25€ Casa Vino)

Nez : Intense, de nouveau sur des notes de bananes cuites et des odeurs balsamique et de cèdre. Légère acescence.

Bouche : épaisse dès l’attaque, on retrouve ensuite des tannins très serrés, pointus et précis avec une acidité nette et élégante. La rétro s’oriente sur des notes de mûre, cerise cuites, vanille (bois qui se fond bien) et une impression de chaleur. Si l’expression aromatique s’avère plus en retenue que le vin précédent, la bouche montre beaucoup de précision avec un bois soigneusement maîtrisé et un tanins joliment dompté.

Très Bien.

Le Barbaresco de Bera… le vin le plus plébiscité par l’ensemble des dégustateurs ce soir là.

Barolo Brunate 1995 Brico Rocche Ceretto (40,11€ Aux 4 Couleurs)

Nez : très intense sur des nuances de café noir, cacao, on remarque une impression presque maritime, l’aération révélant ensuite des notes d’humus de fruits séchés et très légèrement animales.

Bouche : Souple sur l’attaque, le cœur de bouche voit se construire une structure tannique fine, très serré mais avec une texture très soyeuse en finale. On retrouve des variations caramélisées, fumées, iode, maté, thym et autres herbes aromatiques; belle longueur sans atteindre des sommets. Une très belle expression de vieillissement qui fait honneur à ce cépage.

Très Bien +

 

 

 

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Prochaines séances

On m’annonce une place de libre pour la séance Vertivingstone de Jeudi 26 février consacré au Piémont Italien.
(15€ pour les non adhérents – 8€ pour les adhérents )

La séance Découvertivin du 5 mars sera consacrée aux des pratiques culturales des vignerons avec une belle série de Savennières… issus de pratiques culturales différentes cela s’entend.

Le Vertivinus du 12 mars sera consacré aux vinifications bourguignonnes.

 

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