Bonjour,
J’ai deux places libres pour une séance Vertivinus dédié au passerillage jeudi 29 mars à 20h30.
Si vous êtes intéressés : tarif adhérent : 8€ – non adhérent : 15€ Inscriptions et réservation
Bonjour,
J’ai deux places libres pour une séance Vertivinus dédié au passerillage jeudi 29 mars à 20h30.
Si vous êtes intéressés : tarif adhérent : 8€ – non adhérent : 15€ Inscriptions et réservation
Séance Vertivingstone consacré aux vins blancs de Campanie : Fiano di Avellino et Greco di Tufo.
La Campanie offre des vins blancs d’une fraîcheur délicieuse. Le vignoble est situé plus de 250 m plus haut que Naples avec 4 ou 5 degré de moins en moyenne et nos bouches sont souvent titillées par des sensations acidulées, des tensions qu’on ne retrouve que dans les plus beaux cépages au monde. Je le pensais bien mais je confirme que les rapports qualité prix des deux DOCG de vins blancs de Campanie sont remarquables. Deux styles se croisent : les petites productions de vignerons consciencieux et imaginatifs et la précision œnologique des gros négociants. Tout en offrant une palette de vins variés, le niveau qualitatif moyen est toutefois d’une très bonne homogénéité.
Concernant les deux cépages et les deux zones d’appellations, les distinguer, ce sera l’étape suivante.
Fiano di Avellino, Feudi di San Gregorio, 2010
Moyennement expressif, il offre en revanche des parfums variés floraux, abricot, poire. Bouche fraîche, saline et agréablement acidulée ; petit amer assez fin et rétro-olfaction sur la poire miellée. Moderne, variétal mais efficace. Bien ++/Très Bien – (3 points)
Fiano di Avellino, Ciro Picariello 2009
Nez précis, fruité. Goût plus « évolué », bouche assez épaisse, rétro-olfactions sensations de sous-bois, humus (asperge disent certains), bonne salinité, amertume. Curieux. Moyen +/Bien (4 points)
Fiano di Avellino, Colli di Lapio, Romano Clelia 2009
Nez réduit (croute de fromage), floral après une forte aération. Joli texture en bouche ample, amère acidulée et subtilement saline. Bien ++ (2 points)
Fiano di Avellino, Mastroberardino 2010
Fermentaire, bonbon anglais, poire banane. Assez bonne épaisseur un peu masqué par le gaz carbonique ; acidulé mais bon à revoir. Bien (4 points)
Fiano di Avellino, Rocca del Principe 2008
Beau nez fruité et floral et des sensations acidulées dès le nez. Bouche pleine mais superbement acidulée et tendue. Très belle longueur en bouche. Un vin très tonique, très étiré. On passe au niveau supérieur. Très Bien (16 points)
Fiano di Avellino, Vigna della Congregazione, Villa Diamante 2008
Nez éblouissant, très complexe, il offre des arômes d’ananas, de crème aux œufs, de miel et de fruits cuits. La bouche impressionne par son attaque très intense : un caractère très plein) et très sphérique (ovoïde ais-je écrit sur mon carnet dès l’attaque, une bouche mure qui sait rester parfaitement acidulée. Très belle définition. Excellent (26 points – vainqueur du collectif)
Greco di Tufo, Feudi di san Gregorio 2010
Très amylique ; bonbon acidulé, ananas moyennement expressif. Bouche acidulée mais la légereté de la bouche dérange après le précédent vin. Un peu court. Bien (à revoir) ; 0 points
Greco di Tufo, Mastroberardino, NovaSerra 2010
Nougat, fruité ; très frais au nez (menthe fraîche). Très belle tension de la bouche presque vif. La rétro reste très fraîche. Très Bien (7 points)
Greco di Tufo, San Guglielmo, Pères Bénédictins de l’Abbaye de Montevergine 2007
Nez très évolué sur des arômes de laine mouillée ; de suint. Bouche assez grasse, acidulée un peu dissociée mais convenablement tendue en fin de bouche. Bien + (12 points)
Greco di Tufo, Benito Ferrara, Vigna Cigogna 2007
Léger arôme d’alcool à bruler, de caramel. La bouche offre des palettes de crème brulée. Une amertume très balsamique ; un caramel un peu oxydatif très persistant ; la fin de bouche frise un peu la dissociation mais la rétro est longue sur des effluves de Chouchen. Très Bien. (13 points)
Une passionnante dégustation mettant en perspective deux type de terroirs rencontrés sur le vignoble alsacien : les sols marno-calcaires et les sols granitiques.
Nous remercions Florian Beck-Hartweg et Bruno Schloegel pour leur aide précieuse dans la mise en place de cette dégustation.
Les vins ont été dégustés en « semi-aveugle » (liste connue de l’assemblée mais pas l’ordre).
Domaine Martin Schaetzel, Riesling Grand Cru Kaefferkopf 2010.(granit)
Nez assez intense avec des notes pierres et d’agrumes(citron chaud), belle expression malgré la jeunesse.
La bouche démarre par une attaque stricte et tendue, l’acidité tranche dans un premier temps, s’accompagnant s’accompagne de légers amers (peau de citron), nuances de cire en rétro. L’acidité se « crème » un peu en milieu de bouche puis revient sur une pointe citronnée en finale.
De la vivacité, mais c’est mûr et avec une jolie complexité.
Bien ++
Domaine Armand Hurst, Riesling Grand Cru Brand 2008. (Granit)
Nez intense sur une gamme aromatique assez éthérée et miellée, une pointe florale et épicées.
L’attaque en bouche est mordante, l’acidité semble un peu plus prégnante tout en long de la bouche ; rétro sur ces notes citronnées et anisées, finale assez salivante.
Bien
Florian Beck-Hartweg, Riesling Grand Cru Frankstein 2009 (Granit)
Nez assez intense quoique plus fermé que les vins précédents, très floral (acacia, camomille, tilleul) et fruité (agrume).
La bouche démarre sur une impression crémeuse et ronde mais sans la moindre forme de lourdeur. L’acidité marque une remarquable délicatesse, revenant par vague, tantôt fine et présente, tantôt presque évanescente. Rétro toujours florale avec des notes de fruits (abricot), d’épices fraîches et de menthe. Finale saline toujours fine et délicate.
Damned ! C’est mûr, c’est concentré, c’est délicat, c’est gourmand.
Très Bien ++
Domaine Zind-Humbrecht, Riesling Clos Hauserer 2008 (bas du Hengst, marno-calcaire)
Nez intense, pierreux mais aussi marqué par un peu de réduction. Un peu de cire comme pétrolée après aération.
Attaque compacte en bouche avec, pour la première fois, des amers vraiment puissants accompagnés par une acidité austère et un peu sèche, laquelle demande à se polir. Un peu de zeste de citron en rétro. La puissance du duo amer/acide semble un peu dominer l’ensemble du tableau. Sans doute un peu jeune.
Bon, c’est le seul non Grand Cru de la série mais ne nous voilons pas la face, vu le prix de la quille c’est, en l’état, une déception pour l’assemblée.
Moyen
Domaine de l’Oriel, Riesling Grand Cru Brand 2007 (Granit)
Nez intense, avec des notes pierreuse, d’épices (badiane), de fleurs blanches et de pêches et d’agrumes, c’est complexe et harmonieux.
Début de bouche rond et non dénué de souplesse avec des nuances d’ananas cuit/roti aux épices, de citron chaud et une impression exotique. La finale s’avère plus nerveuse avec une acidité allant un peu crescendo mais avec beaucoup d’élégance et sans jamais passer au premier plan. C’est très long en bouche avec beau prolongement de la finale aromatique et une magnifique salinité en filigrane.
Fiou, c’est beau.
Très Bien ++
Sylvie Spielmann, Riesling Grand Cru Kanzlerberg 2004 (Marno-calcaire)
Le nez reste intense, très fruits de la passion, épices, kiwi, tilleul, cerise (noyaux).
Attaque souple en bouche qui tourne ensuite sur une impression plus « huileuse » avec une acidité patinée, rétro sur la cire avec un peu d’amers laissant une sensation de chaleur.
L’expression aromatique est mûre et complexe mais la bouche est un peu dominée par une sensation chaude.
Bien
Domaine Clément Lissner,Riesling Grand Cru Altenberg de Wolxheim 2004 (Marno-calcaire)
Le nez est expressif évoquant, dans un premier temps, une palette légèrement végétale (fougère, herbes aromatiques), puis fruitée et épicée.
La texture en début de bouche allie une jolie densité à une acidité précise mais crémeuse relevé par une rétro complexe sur le menthol, le citron, le pin, le romarin et l’eucalyptus, à la fois fraîche et chaleureuse.
A l’aération le vin gagne en complexité et en élégance, la finale s’avère assez saline avec une acidité un brin tranchante qui se rappelle à notre bon souvenir.
Très jolie évolution.
Très Bien.
Domaine Geschikt, Riesling Grand Cru Wineck-Schlossberg 2002, (Granitique)
Nez intense sur des notes plus évoluées de beurre, caramel, miel.
L’attaque en bouche débute solidement mais la suite s’avère un tout petit peu plus fluide en milieu de bouche avec des amers assez intenses mais tout de même policés. On perçois une agréable complexité sur une gamme légèrement torréfiée (caramel, lait brûlé) et balsamique, puis l’ensemble évolue vers un type plus fruité avec des détours par l’écorce d’orange confite, les fleurs, le cuir et un coté tourbé-iodé. La finale se présente un peu plus crémeuse et texturée mais soutenue par une acidité aidant au maintient d’une certaine fraîcheur.
Bien ++
Domaine de l’Oriel, Pinot Gris Grand Cru Sommerberg 2007 (Granitique)
Le nez est assez intense, peu typé Pinot Gris pour moi (mais plus selon d’autres dégustateurs), avec une expression complexe rappelant la pierre chaude et les épices (vanille, cumin, curry…).
L’amorce en bouche frappe par une attaque suave et très miellée mais qui se tend rapidement par l’intermédiaire d’une acidité particulièrement subtile (Comme le Riesling du même domaine), rétro sur les épices, notamment la badiane, légèrement fumée. Le vin paraît encore jeune mais montre un superbe équilibre. J’aime beaucoup.
Très Bien +.
Domaine Bott-Geyl, Pinot Gris Grand Cru Sonnenglanz 2004 (Marno-calcaire)
Expression aromatique intense sur le sous-bois, champignon à la crème, miel et acacia.
Bouche ronde et épaisse, avec une jolie liqueur, c’est plus opulent mais sans sombrer dans l’excès, rétro qui évoque le pop-corn et le caramel. Plus flatteur pour certains, mais un peu plus simple -quoique bien fait- à mon goût, j’aimerais un peu plus de profondeur.
Bien.
Florian Beck-Hartweg, Gewurztraminer Grand Cru Frankstein 2008 (Granitique)
Nez très intense et complexe sur la rose, le jasmin, la violette, l’anis, des notes de citron et aussi de sauge.
L’amorce en bouche frappe par une forme de fraîcheur toute en élégance, c’est très mentholé, anisé et citronné. Comme sur le Riesling, l’acidité séduit par sa tenue fine, délicate et ondoyante avec une impression salivante, saline et digeste en finale. Rétro sur une dimension florale ainsi que des notes de citrus et dattes. On en redemande.
Excellent.
Marc Tempé, Gewurztraminer Grand Cru Mambourg 2006 (Marno-calcaire)
Nez intense sur le miel, impression de cire, de curry, très confit.
En bouche… Ouch ! C’est opulent et compact, imposante liqueur relevée par de jolis amers. La trame aromatique prend un caractère un peu éthérée :essence de fleurs, cumin et cardamome. On distingue en outre une orientation fruitée vigoureuse qui rappelle la mangue, l’ananas, le fruit de la passion et l’abricot cuit. Un peu de volatile pour moi. Mais c’est un vin très charnu, on a envie de mordre dedans, il appelle la gastronomie.
Très Bien.
J’ai quelques places de libres ce jeudi 12 mars pour une séance consacrée au Riesling Grand Crus du Bas Rhin.
tarif adhérent : 8€ – non adhérent : 15€ Inscriptions et réservation
Photo du Kantzlerberg de Pierre Radmacher dont les textes m’auront bien aidé à préparer la séance.
N’oubliez pas que se tient aujourd’hui le traditionnel salon “Viarme fête le vin” ce week end 10-11 mars sur la place Viarme à Nantes.Vous y trouverez comme d’habitude, le domaine du Mortier de Saint Nicolas de Bourgueil, le Domaine de la Pinte en Jura, peut-être le château Déves de Fronton ou enfin le Château de Surronde en Layon. Des amis de l’INAO de Perpignan nous conseillent également de rendre visite au Domaine Guitard de Tautavel en Roussillon.
(ps : c’est l’affiche de l’an dernier – ne vous inquiétez pas pour les dates)
Si vous avez la fibre bio, n’hésitez pas non plus à rendre visite au salon des Anges-Vins qui reviennent à Nantes le 24 mars de 10h à 18h dans un lieu insolite : l’ancien Karting de l’Ile de Nantes (6 rue St Domingue). Avec la présence de :
Patrick Baudouin – Didier Chaffardon – Jean-François Chéné – Benoît Courault – Christophe Daviau – Les Griottes – Nadège et Laurent Herbel – Christine et Joël Ménard – Agnès et René Mosse – Domaine des PZ – Sophie et Jérôme Saurigny – Mylène et Eddy Oosterlinck- Toby Bainbridge – Pithon Paillé, Domaine de la Paonnerie et Domaine de la Pépière.
Le même week-end (24-25 mars) se tient le salon Natura à la Trocardière de Rezé avec de nombreux domaines bios de tous horizons (dont le domaine du Mortier qui revient).
J’ai deux places libres le 6 mars pour une séance Salivertivin consacréaux côtes de Bourgogne : Côte de Nuits, Côte de Beaune ou Côte Chalonnaise ; malgré des différences de prix impressionnantes, sommes nous en mesure d’identifier le Bougogne rouge qui correspond à chaque côte ? Le Terroir avec un grand T saura-t-il parler ?
Une série de 3 vins du millésime 2009, 3 vins du milésime 2005 et 3 vieux Millésimes (96, 79 et 54), du vigneron, du négociant, des vinifs tradis ou modernes, du Village, du 1er Cru et du Grand Cru, du vigneron pas très connu et du spéculatif… le Terroir va-t-il parler ?
tarif adhérent : 8€ – non adhérent : 15€ Inscriptions et réservation
Tiens c’est quelle côte ça justement ?
Nous voici donc rassemblés pour cette deuxième séance de Verticadet chez Denis Charbonneau, vigneron discret de Gorges qui travaille dans une approche qualitative sur de superbes terrains. L’objectif était de parler un peu des millésimes de ces 20 dernières années en Muscadet et de profiter, pour ce faire, de la formidable cave à millésimes de Denis Charbonneau pour faire un voyage dans le temps (la moitié des millésimes goûtés ce soir sont encore en vente au domaine à des tarifs très doux). Après une dégustation du 2011 en cours d’élevage, nous attaquons :
Muscadet de Sèvre et Maine sur Lie, Domaine des Hauts Mortiers Cuvée des Rochettes 2010
Nez pur, cristallin, marin ; bouche précise pointe de tanin en bouche, une vivacité qui claque. fin de bouche et rétro-olfaction assez gournmande sur des notes de bonbon, de noisette. Bien +
Muscadet de Sèvre et Maine – Gorges, Denis Charbonneau 2009 (en élevage)
Nez très balsamique de vanille, de miel, rhum-raisin. la bouche est bien pleine, plus large que long, légère sensation d’aplatissement en fin de bouche comme tous ces vins qui sont avant tout structuré autour d’amers de qualité. Bien ++ (2 points du collectif)
Muscadet de Sèvre et Maine sur Lie, Domaine des Hauts Mortiers Cuvée des Rochettes 2008
Anis et fenouil, acidité mordante, léger tanin structurant (ils appellent ça de la “mâche” du côté de Vallet) finale marine qui invite à toutes les alliances gustatives avec les crustacés. Bien
Muscadet de Sèvre et Maine sur Lie, Domaine des Hauts Mortiers Cuvée des Rochettes 2007
Nez modérément expressif, fruité, peau de pêche. Un vin qui semble rentré dans en phase transitoire ; rond en attaque moins intense que les précédents vins. à revoir
Muscadet de Sèvre et Maine – Gorges, Denis Charbonneau 2005
Nez très élégant, d’amandin, d’orange et de citron cuit. Bouche riche, mure qui offre un registre plus oxydatif : encaustique, orange blette en finale. Finale un peu chaude. Très Bien +/ Très bien ++ (9 points –vainqueur du collectif)
Muscadet de Sèvre et Maine – Gorges, Denis Charbonneau 2003
Banane flambée, crème brulée, alcool à bruler au nez. Texture enrobante. Très belle longueur aromatique qui prolonge une structure gustative plus courte. Rétro sur la cassonade. Très Bien
Muscadet de Sèvre et Maine – Gorges, Denis Charbonneau 2002
Nez fin sur la cire et l’encaustique. Attaque assez enrobante qui précède une vivacité dynamique en fin de bouche. Cire et Rhum-raisin en rétro-olfaction. Bien ++ (1 point)
Muscadet de Sèvre et Maine – Gorges, Denis Charbonneau 1997
Au bout de quelques temps, les vins de Denis Charbonneau en particulier et nombre de Muscadet ont tendance à nous emener dans un registre aromatique reducteur fort original. Nez de pétard/poudre à canon, pain grillé, tripes à la mode de Caen, boîte en fer selon ma voisine. La bouche offre une superbe patine, crémeux, l’acidité tend superbement la structure du vin. Longue rétro-olfaction sur des notes balsamiques. Très Bien ++/ Excellent – à carafer – (5 points)
Muscadet de Sèvre et Maine – Gorges, Denis Charbonneau 1996
Vanille, miel , lacté avec l’effet de succession (alors que connaissant ce vin j’ai la souvenance d’un petit côté poudre à canon). La bouche est assez complexe, plus sphérique que le précédent vin. une tension en vague très élégante. Frais et fin. Très Bien ++/Excellent (8 points)
Muscadet de Sèvre et Maine sur Lie, Domaine des Hauts Mortiers Cuvée des Rochettes 1993
Nez mineral, poudre à canon, pétard. Acidité tranchante finale patinée tapissante. Bien ++
Muscadet de Sèvre et Maine sur Lie, Domaine des Hauts Mortiers Cuvée des Rochettes 1992
Ce n’est pas le millésime du siècle, mais ici il s’exprime certes dans un premier temps sur des notes réductrices (pétard) puis vient des notes très florales légèrement mellifère, frais camphre et cire. Bien tapissant en bouche. Très Bien (1 point)
Muscadet de Sèvre et Maine sur Lie, Domaine des Hauts Mortiers Cuvée des Rochettes 1991
Superbe nez d’une rare expression aromatique : miel, alcool à bruler, floral, bonbon anisé. ça part dans tous les sens. La bouche est plus simple en revanche : plus rectiligne ; un peu de rugosité en fin de bouche. Finale sur des notes cirées. Bien ++
Crédit photo : l’Américain