Démarrage de Vertivingstone ce Jeudi 4 octobre

Les ateliers du groupe Vertivingstone démarrent ce jeudi 20h30 avec une séance dédiée à la connaissance du vignoble de Gaillac.

 

J’ai encore une à deux places disponibles pour participer aux dix séances de ce groupe. (95€ pour un individuel – 180€ pour un couple). Vous pouvez aussi participer à la séance : 8€ pour un adhérent d’un autre groupe ou 15€ pour un non adhérent.

 

Si vous êtes intéressés, n’hésitez pas à me contacter

 

 

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Vertivinus séance sur les contenants : places libres

 

 

Pour ceux qui sont intéressés, il y a quelques places libres pour participer à la séance Vertivinus de jeudi 27 septembre dédié aux contenants : Fût, Cuve Inox, béton, amphore, oeuf d’argile, foudres ; il existe de nombreux moyens pour élever un vin. quelles conséquences sur le vin final ? vous le saurez en participant à cette passionnante séance animé par Romain Mayet (adhérent : 8€ – non adhérent : 15€). Contactez-moi pour réserver votre place

 

http://www.domaine-du-joncas.com/wordpress/wp-content/uploads/2011/09/IMG_0173ter.jpg

 

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Séance Pouilly-Fuissé

Voici le compte-rendu en retard de la dernière séance du groupe Vertivingstone 2011-2012 dédié aux vins de l’appellation Pouilly-Fuissé.

 

Pouilly-Fuissé, Domaine Thibert 2009 Premier nez presque un peu réducteur qui s’ouvre sur des légers arômes de fleur de tilleul accompagné d’un fin grillé. La bouche est grasse, très saline, bien tendue, beurrée et offre un joli volume. Elégant, on en boirait tout les jours. Très Bien + (6 points)

 

Pouilly-Fuissé, Domaine de la Croix Senaillet 2009 Le nez est mûr, le fût plus grillé qui offre des notes de caramel et de miel d’orange. Bouche très épaisse, très saline, bien allongée et de beaux amers de fin de bouche. Un style différent du premier vin mais qui se respecte… pour un autre usage… Très bien + (6 points)

 

Pouilly-Fuissé, Domaine de la Creuze Noire, Clos de Monsieur Noly 2009 Premier nez lacté, pas de bois perceptible, la bouche est arrondie, grasse, un peu simple, elle chauffe en fin de bouche. Bien (+) 6 points

 

Pouilly-Vinzelles, Domaine de la Soufrandière, Climat les Quarts, 2009 Après une très légère réduction, le nez est très pur, cristallin, intense floral et des touches boisées qui montrent un élevage très bien maîtrisé. En bouche le volume est impressionnant doté d’un amer particulièrement structurant. Fine acidité en fin de bouche qui n’est pas encore en place. Très Bien + à mieux (11 points – meilleur note du collectif)

 

Pouilly Fuissé, Roger.peguet.com 2007 Nez vanillé, beurré, léger CO², grassouillet et beurré en bouche. Très vif en finale… un peu écoeurant. Moyen. (5 points)

 

Pouilly Fuissé, Domaine Daniel Barraud, Les Crays 2007 (Mag) Nez extrêmement champignonné que je l’ai pris pour du bouchon. La bouche est agréable, assez fine, évoluée mais très bien tendue… mais le nez me turlupine… déviation ? Non noté

 

Pouilly-Fuissé, Domaine Verget, Terroir de Vergisson 2005 premier nez moyennement aromatique mais qui laisse une impression de maturité (mangue cuite). Belle bouche ample, épaisse, de beau amers ; un côté tannique assez peu acide mais une acidité un peu tartrique. Un peu chaud en fin de bouche. Très Bien (7 points)

 

Pouilly-Fuissé, Annie Claire Forest (Ex Michel Forest), Sur La roche 2007 (Mag) Premier nez très animal, pétard, œuf, une palette aromatique assez évoluée qui s’ouvre ensuite sur des notes de coquilles d’huître. Le toucher de bouche est doux, bien tendu. Légèrement chaud en bouche. Très Bien + (9 points)

 

Pouilly-Fuissé, Eric Forest, les Hauts des Crays 2001 Nez très complexe d’orange, de miel de fruits confits, pain d’épice, cire d’abeille ; la bouche est suave ; la finale est fraîche ; longs arômes de propolis. Très Bien ++

 

Pouilly-Fuissé, Domaine Brémont, 1945 (niveau épaule) Nez très oxydatif ; fumé, tilleul, verveine ; gras. Très long rancio en bouche ; miel, balsamique. Un peu flingué. Bien ++ (2 points)

 

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Compte-rendu : séance Yecla

Séance de la séance Vertivingstone consacrée au vignoble de Yecla en Espagne. « Petit » vignoble de 6500 hectares DO de Murcie réparties en 8 bodegas (oui ça fait beaucoup d’hectares par bodega) dédié traditionnellement au Monastrell/Mourvèdre. La zone d’Alicante et les vignobles avoisinants étaient plutôt consacrée au doble pasta : un vin qui macère dans les peaux d’un vin précédent en plus du sien et destiné à teinter nos vins de tables. La baisse de la consommation des vins de consommation courante a entraîné une forte baisse de superficie de ces vignobles et un repositionnement marketing haut de gamme. Certains domaines cherchent la « note Parker », c’est une évidence.

 

Deux gros domaines particulièrement trustent le commerce international : la BODEGAS SEÑORIO DE BARAHONDA et la BODEGAS CASTAÑO. Il est compliqué, sauf à se rendre sur place de trouver des vins d’autres domaines. La dégustation portera essentiellement sur la gamme de ces deux domaines qui ne semblent pas être les pires et qui pratiquent des vinifications assez modernes.

 

Yecla, SEÑORIO DE BARAHONDA, Summum 2009
Premier nez élégant sur le fût empyreumatique façon tabac à pipe. Tanin ferme, un vin puissant, chaud, légèrement sucré, arômes de gelée de cassis en finale très persistant. Moderne mais efficace. Très Bien (7 points)

 

Yecla, SEÑORIO DE BARAHONDA, 59h35’03’’ 2010
Vin vendu avec un cd préparé par un célèbre DJ espagnol pour apprécier l’accord vin musique. Premier nez discret, parfums floraux, bouche marqué par un fût américain très puissant. Tanin de bois et sucrosité un peu doucereuse… Bien sans plus (3 points)

 

Yecla, BODEGAS CASTAÑO, Cepas Viejas 2006
Premier nez assez animal, légère volatile, notes élégantes de piment d’espelette la bouche est suave, ronde, enrobante…. Epaisse et douce, le tanin bien dessiné, assez chaud mais une finale qui reste aérienne.  C’est un beau vin très bien fait. Très Bien +/voire mieux (9 points)

 

Yecla, Flor del Montgo 2008 (distribué en France par Valade et Transandine)
Robe plus claire, nez expressif, parfums de réglisse et de fruits rouges, bouche souple, tanin léger, longueur fruitée, fraise et fraise cuite. Simple et bon. Très Bien (8 points)

 

Yecla, SEÑORIO DE BARAHONDA, Monastrell 2008
Nez discret, la bouche a la texture suave des jolis mourvèdres, le tanin très ferme un peu rugueux encore aujourd’hui, très chaud. Joli rétro-olfaction assez complexe assez fin je discerne étrangement des notes de tilleul. Un vin encore très verrouillé, de garde ou qui nécessite 2-3h de carafage avant ouverture. A 8-9 euros prix caviste, c’est un très bon rapport qualité-prix. Très Bien +/ à revoir (15 points)

 

Yecla, SEÑORIO DE BARAHONDA, Heredad Candela, Monastrell 2008
Nez confit, notes de cuir, la bouche est assez intense, beau tanin ; légère sucrosité. Rétro-olfaction fruitée. Agréable. Très Bien (4 points)

 

Yecla, BODEGAS CASTAÑO, Casa Cisca 2005
Nez assez ouvert sur une dominante de vanille. Un bois assez élégant. L’attaque est assez fraîche, mentholée mais la bouche est très concentrée tanin très poudreux, envahissant, large et très persistant… un poil séchant même… Un vin de compèt’ pour la compèt. J’en boirai pas tous les jours au petit dej mais c’est techniquement irréprochable. Très Bien + (16 points)… 35€

 

Et pour finir deux Monastrell passerillés :

 

Yecla, SEÑORIO DE BARAHONDA, Bellum et Renate 2004
Nez volatile expressif de fruits macérés, vanille de fût, la bouche est dense, le tanin accrocheur contrebalancé par un moelleux concentré. Exercice bien maîtrisé. Très Bien (6 points)

 

Yecla, BODEGAS CASTAÑO, Dulce 2006
Nez puissant de crème de cassis, ça pète le fruit. La bouche est sucrée mais un peu sucraillonne. Le tanin est moins structuré. Plus moderne sur une plaisir immédiat. Bien + (5 points)

 

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Séance Muscadet sur Orthogneiss.

Le groupe Verticadet s’est donné rendez-vous chez Jo Landron malgré son agenda de ministre pour comprendre les particularités de l’orthogneiss.

L’orthogneiss est une roche nettement minoritaire dans le vignoble nantais par rapport aux Gneiss, Micaschistes ou autres Gabbro qui forment le gros des troupes. La plus grosse veine d’Orthogneiss débute sur la rive droite de la Sèvre à Vertou (La Ramée) et se poursuit en remontant le cour d’eau jusqu’au château de la Mercredière à La Haye Fouassière. On trouve de vagues traces d’Orthogneiss à un degré moindre de compression sur Saint Fiacre ou sur le Landreau (Expression d’Orthogneiss de Guy Bossard & Fred Niger par ex) mais le vrai Orthogneiss, le plus dur, le plus caillouteux, celui qui bousille les socs de charrue : il longe la Sèvre le long des Clos de la Ramée, du Moulin de la Faubretière, du Fief du Breil et de la Mercredière.

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Eric, moi, Romain, Jo sur fond de Fief du Breil

 

Muscadet de Sèvre et Maine sur Lie Château de la Faubretière 2010
Nez fruité un peu herbacé/fougère. Rond en bouche… une bouche un peu courte d’ailleurs. Bien.

 

Muscadet de Sèvre et Maine sur Lie, Gadais Père et Fils, Grande réserve du Moulin 2010
Légèrement réduit, peu expressif au nez mais une bouche plus grasse, un amer plus structuré, belle salinité… un vin plus mur. Très Bien

  

Muscadet de Sèvre et Maine sur Lie, Nelly Marzeleau, les Grands Presbytères 2010
(pirate… un Gneiss à deux micas au milieu d’orthogneiss… fait-on vraiment la différence ?). Reduction puis nez fruité assez facile. Bouche un peu citrique… mais c’est bien le style de Nelly Marzeleau… des vins vifs et frais… à mon goût cela manque un peu de maturité mais c’est « à mon goût ». Bien

 

Muscadet de Sèvre et Maine sur Lie, Domaine Bid’Gi (Bideau-Giraud), Domaine du Vieux Chai 2009.
Nez aromatique de bourgeon de cassis, exotique. Bouche convenablement épaisse, salin, délicat. Bien ++/Très Bien

 

Muscadet de Sèvre et Maine, Domaine Bid’Gi (Bideau-Giraud), Les Garnds Mortiers Gobin 2009
(Ici encore un pirate puisque les Mortiers Gobin bien qu’entourés d’Orthogneiss sont situés sur une poche sédimentaire de grès… un sol assez rare en Muscadet. ) Nez très aromatique d’ananas, beurre, caramel en rétro. Un vin épais, structuré sur son amer peu d’acidité, pas très tendu mais un équilibre salin-amer intéressant. Bien ++/Très Bien

 

Muscadet de Sèvre et Maine, Gérard Vinet, Clos de la Houssaie 2009
Nez aromatique, fruité, fruits blancs murs. La bouche est en revanche très vive ; très tartrique dissociée par rapport au vin. Un vin qui me semble avoir été vendangé trop tôt. Bien.

 

Muscadet de Sèvre et Maine, Gérard Vinet, Clos de la Houssaie 2009
Nez assez flatteur de mangue ; cette fois une acidité qui tend bien le vin ; pas une grosse matière mais un style étiré et une belle rétro olfaction. Très Bien

 

Muscadet de Sèvre et Maine, Domaine des Cormiers, Michel Loiret, Clos de la Ramée, 2007
Réduit au premier nez puis fruité, ananas, une bouche vive ; citronnée. Bien ++

 

Muscadet de Sèvre et Maine, Domaine de la Louvetrie, Fief du Breil 2007
Miel, abricot sec… chenin. Nez très balsamique, gras, mur, épais et très bien tendue. Beaucoup plus mur et moins sulfité que les précedents. Très Bien +

 

Muscadet de Sèvre et Maine, Château de la Mercredière, Saphir, Le Pallet, 2003
Balsamique, assez gras. Alcool un peu brulant. Bien

 

Muscadet de Sèvre et Maine, Domaine de la Louvetrie, Fief du Breil 2003
Grillé, caramel de nougatine, sensation d’un léger gaz et légère salinité. Très Bien

 

Muscadet de Sèvre et Maine, Domaine de la Louvetrie, Fief du Breil 2002
Nez précis de cire, miel, citron cuit, citron vert. La bouche est pleine, vive tendue sur des arômes de citron cuit. Excellent…. Et il parait que 2010 est de la même trempe… et ben… une caisse siouplait.

 

Muscadet de Sèvre et Maine, Domaine de la Louvetrie, Fief du Breil 1997
Nez fumé, lacté, bouche épaissse assez tendue sur une finale pétrolée. Le citron vert revient un peu après aération. Peu salin en revanche… c’est rare sur la série. Très Bien.

 

Muscadet de Sèvre et Maine, Domaine de la Louvetrie, Fief du Breil 1996
Très beau nez ciré, empyreumatique, grillé. J’aime beaucoup ce nez : noble et complexe. La bouche est enrobée mais bien vive et une finale sur de la noisette. Très Bien ++

 

Muscadet de Sèvre et Maine, Château du Breil 1963
Superbe conservation pour un vin dont les pratiques auraient pu nous sembler anachronique. Jo nous rappelle qu’à cette époque on vendange moins mur, on pressait quand on avait le temps, des vinifications en vieux demi-muids (les caves sous-terraines n’étaient pas encore répandues), le sulfitage se faisait à la mèche de soufre dans les tonneaux… et un vin bio somme toute : les engrais et les pesticides n’arrivent que dans les années 70 en pays nantais.
Ça donne un premier nez réduit (pétard) comme tout bon Muscadet enfermé en bouteille pendant 50 ans puis viennent des arômes de thym, de citron, de cire d’abeille fraîchement disputé aux abeilles, red cedar. Acidité moelleuse, gras vif rétro très légèrement métallique. Superbe… Excellent

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Quels sont les particularités de l’orthogneiss ? peut-on déduire des particularité malgré des vignerons aux pratiques assez antinomiques : depuis des élevages réducteurs à la dose minimale de soufre…
Et pourtant quelques caractéristiques semblent se dégager… d’abord des profils aromatiques peuvent être assez marqués notamment avec le vieillissement. Ici pas d’oranges des granits, de pêche des Gneiss, de tarte aux poires des gabbros murs : la palette aromatique de l’Orthogneiss est plutôt exotique (ananas, mangue, abricot) Les bouches semblent se distinguer par une caractère assez effilé et une salinité (une minéralité diraient d’autres) particulièrement prononcée. Ce sont des vins qui sont réactifs aux millésimes.. ; comme partout en Muscadet d’ailleurs ; à l’instar des gneiss, il me semble que les expressions de ces vins sont plus intéressants en millésime frais (2002, 2007, 2010) qu’en millésime chaud (2003, 2005, 2009)

 

 

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2011/2012 Soirée Salivertivin du 03 janvier 2012 « Blanc de Blancs » / « Blanc de Noirs »

Introduction

En guise d’animation d’été du blog de Vertivin vous trouverez des dégustation du groupe salivertivin ainsi que 2 séances Libertivin sur Puligny Montrachet et Pomerol. Restez connecté !!!!
La dégustation du 03 janvier 2012 du groupe Salivertivin portait sur une série de vins effervescent issus exclusivement soit d’un cépage blanc ((Chardonnay et plus rares arbane, petit meslier) Blanc de Blancs) soit d’un cépage noir ((Pinot Noir ou meunier) Blanc de Noirs).
Chaque dégustateur après dégustation à l’aveugle du vin devait émettre son opinion sur le type BdeB ou BdeN du vin dégusté. Une bonne réponse lui permettait de voter à la dégustation du vin suivant. Une erreur et le voilà condamné à déguster en silence le reste de la série.
Ludique, Isn’t it ?
La dégustation des 8 vins à donc était réalisée à l’aveugle.

Dégustation (à l’aveugle)

Premier vin
R : Bulle discrète, Robe discrètement teintée.
N : Fruité dans une gamme plutôt fruits rouges (fait penser à un BdeN).
B : Effervescence présente. Bouche + « tranchante » (fait penser à un BdeB… Gros doute). Persistance moyenne.
Note : Moyen + à Bien
Nombre de points : 0
Crément du Jura Brut
Domaine Pignier
BdeB
Prix moyen : 10.71 euros

 

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Second vin
R : Robe plus clair que le vin précédent.
N : Plutôt typé chardonnay (BdeB ?)
B : Plus acide mais aussi plus aromatique en bouche. Effervescence tapissante plus fine. Persistance aromatique soutenue par l’acidité.
Note : Bien
Nombre de points : 10
Champagne

Blanc de Blancs Vieilles Vignes Extra Brut
Francis Boulard
BdeB
Prix moyen : 28.50 euros

 

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Troisième vin
R : Bulle rare mais belle corolle.
Robe discrètement teintée
N : Beau avec un début d’évolution (foin coupé, Fruits mûr)
B : Bulle très fine en bouche, belle rétro-olfaction. Très belle persistance et grande longueur.
Champagne Sapide.
C’est très bon mais BdeB ou BdeN
Note : Très bien à Excellent
Nombre de points : 4
Champagne Grand Cru Verzenay 2005
Blanc de Noirs
Janisson et Fils

BdeN
Prix moyen : 29.90 euros

 

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Quatrième vin
R : Bulle fine, robe discrètement évoluée.
N : Fin, miellé, notes d’amande.
B : Effervescence correcte, rétro-olfaction moyennement intense. Evolue moins complexe que le précédent.
Note : Bien
Nombre de points : 3
Champagne Blanc de Blancs
De Sousa et Fils
Réserve
BdeB
Prix moyen : 34 euros

 

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Cinquième vin
R : Dorée légère, effervescence moyenne à marquée.
N : Peu intense (pomme verte).
B : Effervescence présente. Un peu moût, dissocié mais aromatique.
Rétro-olfaction un peu médicinale
Note : Moyen+ à Bien –
Nombre de points : 2
Champagne Grand Cru
Blanc de Noirs
Barnaut
BdeN
Prix moyen : 17,95 euros

 

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Sixième vin
R : Intensité moyenne.
N : Peu intense sur un registre presque exotique puis médicinal à l’aération.
B : Manque d’élégance, herbacée, rétro-olfaction de fougères, monolithique.
Note : Bien
Nombre de points : 8
Champagne 2007
Pinot Meunier Les vignes d’autrefois 2007
Laherte Frères
BdeN
Prix moyen : 31 euros

 

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Septième vin
R : Robe et effervescence discrètes.
N : Fruité mûr discret mais net.
B : Beau volume, très aromatique et fruité. Bulle présente et fondue, crémeuse. Finale discrètement dissociée. Bonne rétro-olfaction
Note : Très bien
Nombre de points : 4 points
Champagne
Côte des Bars Cuvée Champ Persin Chardonnay
Champagne Moutard
BdeB
Prix moyen : 20 euros

 

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Huitième vin
R : Discrètement évoluée.
N : Peu intense, beurré.
B : Belle présence, harmonieux, beau volume. Rétro-olfaction sur des notes évoluées de belle classe (noisette).
Note : Très bien
Nombre de points : 11
Languedoc 2000
Vin Rare Pinot Noir Brut
Jean Louis Denois
BdeN
Prix moyen : 12.80 euros

 

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Conclusion

 

Une expérience très intéressante qu’il aurait fallut coupler à une analyse des dosages pour la compléter. Difficile pour ma part, éliminé au 3° ou 4° vin de faire à coup sur la différence même en imaginant placer tel ou tel vin à l’apéritif ou à table. Difficile tant sur la robe que l’aromatique de les différencier, l’évolution d’une robe de chardonnay pouvant se rapprocher à mon sens d’un pinot un peu taché… Mais cela doit être possible deux membres du groupes ont réalisé un sans faute… Chapeau bas !!!!!
Chaque dégustateur présent avait trois points à attribuer à ces vins préférés.

Le « classement » de ce soir est donc :

 

     – 1°: 11 points

Languedoc 2000
Vin Rare Pinot Noir Brut
Jean Louis Denois
(Gloups ce n’est même pas un champagne… Des champenois lisant se blog vont manquer de s’étrangler. Félicitation quoiqu’il en soit à M. Denois)

 

     – Second : 10 points

Champagne

Blanc de blancs Vieilles vignes Extra-Brut

Francis Boulard

 

     – Troisième : 8 points

Champagne 2007
Pinot Meunier Vieilles Vignes
Laherte Frères

 

     – Quatrième ex æquo : 4 points

Champagne Grand Cru Verzenay
Blanc de Noirs
Janisson et Fils

Champagne
Côte des Bars Cuvée Champ Persin Chardonnay
Champagne Moutard

     – Sixième : 3 points

Champagne Blanc de Blancs
De Sousa et Fils
Réserve

     – Septième : 2 points

Champagne Grand Cru
Blanc de Noirs
Barnaut

     – Huitième : 0 point (Ouf!!! Ce n’est pas un champagne!!!!!)

Crément du Jura
Domaine Pignier

 

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Séance d’été : le vin de mes vacances ce jeudi 5 juillet

Il nous est arrivé à tous, d’avoir été emballé par un vin à l’occasion de nos vacances. Pris dans l’ambiance de congés bien mérités, d’une mer limpide, d’un soleil clément, le moindre rosé de comptoir prend des airs de framboise rafraichissantes.

 

Alors nous en avons ramenés de ce vin de nos vacances, défiant les heurts des soutes à bagage au risque de voir tout le linge salle imbibé dusdit breuvage, bravant les roulis du train, la place limitée dans la voiture, il est arrivé en région nantaise.

 

Et si nous goûtions ces vins ramenés à l’occasion de nos vacances : l’idée est d’apporter sa bouteille de vins de nos vacances et qu’on puisse le goûter à l’aveugle.

Cela se passe le jeudi 5 juillet à 20h30 au Château de la Frémoire. Pas d’inscription. chacun apporte sa bouteille.

 

http://www.bed-and-breakfast.it/fotonews/vino-300.jpg

 

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Séance Yecla : Places libres

J’ai quelques places disponibles pour une séance consacrée au petit vignoble espagnol de Yecla ce jeudi 7 juin à 20h30… pour les amateurs de Mourvèdre (Monastrell)

Si vous êtes intéressés : tarif adhérent : 8€ – non adhérent : 15€ Inscriptions et réservation

 

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Compte-rendu : séance Côtes du Rhône Signargues, Massif d’Uchaux, Puyméras et Plan de Dieu

Voici une dégustation de côtes du rhône villages des quatre nouvelles AOC de 2005 : Signargues, Puymeras, Plan de Dieu et Massif d’Uchaux. L’idée de cette dégustation était de vérifier si de nouvelles démarches collectives généraient un dynamisme particulier sur l’ensemble des vignerons d’une nouvelle entité communale. La sélection s’est  donc faite sans l’aide des « grands prescripteurs » (guide, presse) qui se sont d’ailleurs encore peu intéressés à ces appellations ; donc c’est une sélection plus aléatoire… cavistes, récurrence guide Hachette ou pifomètre au grand dam d’un caviste parisien horrifié que l’on puisse faire une dégustation de vins non recommandés par ces grands prescripteurs (la dépendance des cavistes parisiens aux guides…. pffff).
Un deuxième objectif… un peu plus taquin était de se demander si nous étions en mesure de retrouver les 4 appellations en aveugle (sachant que les 4 premiers vins étaient dégustés découverts).

 

Domaine d’Andezon, Cave des vignerons d’Estezargues Côtes-du-Rhône-Villages Signargues 2010
Nez fumé, goudron, violette. Bouche mure, riche, tanin précis rétro fumée. Pas très long mais agréable dans l’ensemble. Bien ++ (3 points.)

 

Domaine Henri Durieu, Côtes-du-Rhône-Villages Plan de Dieu 2009
Nez de garrigue  un peu boisé. Légère sucrosité du fût en bouche ; tanin ferme, mur, léger amer d’extraction ; rétro fumée. Bien ++ (14 points)

 

Domaine le Puy de Maupas, Côtes-du-Rhône-Villages Puyméras 2007
Nez très fruité, un peu confit qui dénote une belle maturité du raisin. La bouche est nette ; le tanin moelleux. Bel équilibre. Très Bien (12 points)

 

Domaine de la Guicharde, Cuvée Genest, Côtes-du-Rhône-Villages Massif d’Uchaux 2009
Nez animal assez intense ; léger sucre résiduel sans doute issu d’une fermentation en levure naturelle qui ne mange pas tous ses sucres ; un peu chaud en finale, tanin lissé. Bien ++ (4points)

 

Château de Simian, Jocundaz 2006, Côtes-du-Rhône-Villages Massif d’Uchaux 2006
Nez assez fruité ou l’on distingue des odeurs de cheval… brettanomyces  sans doute ; bouche charnue, tanin ferme. Une belle bouche mais un nez pas très propre. Moyen/Bien (3 points)

 

Cave de la Comtamine, Chasseur de Puymeras, Côtes-du-Rhône-Villages Puyméras 2007
Nez fruité, un peu réducteur qui évoque la syrah. La bouche est souple en attaque, ferme en tanin (légèrement dur). Mais c’est bien fait. Bien ++ (8 points)

 

La Cabotte, Garance, Côtes-du-Rhône-Villages Massif d’Uchaux 2009
Ouh… très particulier. Le nez est extrêmement puissant sur des notes de jus de cerise portée par une grosse volatile. La bouche laisse une sensation limite acétique mais les tanins sont fins et puissants. La bouche est assez tapissante. Un bon volume. Je ne sais pas trop quoi en dire… les choix de vinification sont un peu téméraires mais ça pète bien… mrff Bien + (2 points).

 

Vignerons d’Estezargues, Granacha, Côtes-du-Rhône-Villages  Signargues 2010
Nez fumé, intense, fruité ; garrigue. La bouche est bien structurée, dense, charnu et un peu chaude, le tanin fin persistant. Pas très long aromatiquement mais un vin qui propose un format apte à supporter une bonne garde. Très Bien + (5 points)

Château de Saint Estève d’Uchaux, Grande réserve Côtes-du-Rhône-Villages  Massif d’Uchaux 2009
Nez aromatique, goudron, animal, faisandé… bouche agréable structurée, bien faite ; tanin particulièrement intense. Une bonne garde est suggérée. Très intéressant exemple d’usage d’un élevage en cuve sous-terraine réussie pour un vin rouge. Un style un peu campagnard mais Très Bien (4 points)

 

Calendal, Philippe Cambie – Gilles Ferran, Côtes-du-Rhône-Villages Plan de Dieu 2009
Nez grillé, vanille ; belle bouche épaisse et riche ; tanin de bois ; très boisé en bouche ; notes de sucre /cassonade en rétro-olfaction. Un style très urbain… pas besoin d’être devin pour se douter qu’il y a un œnologue rigoureux derrière ce vin… c’est un peu beaucoup boisé pour moi quand même… Bien ++/ Très Bien (18 points et vainqueur du collectif ce soir).

 

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Vertivinus – La notion de minéralité dans les vins – Jeudi 3 mai 2012 – Château de la Frémoire

C’est à un atelier autour de la notion de minéralité que Romain convie les participants pour cette avant-dernière session Vertivinus.

 

Arrivant avec une demi-heure de retard (quelques petits problèmes de train en Paris & Nantes), je suis tout de suite projeté dans une première dégustation studieuse de quatre vins (deux en simultané à deux reprises) « Au diable la présentation du sujet que nous trousse habituellement Romain, place à l’action » me dis-je alors que Romain me verse les deux premiers vins à goûter à l’aveugle. C’est donc consciencieusement que je goûte les quatre vins en prenant les notes suivantes :

 

Vin 1

Vin 2

 

 

Nez : citron, sucré, puissant,

Nez : faible, sucré, minéral ?

Bouche : grasse, chaude, sèche, finale acidité

Bouche : fraîche, plus tendue, touche saline è Minéralité ??

 

 

Vin 3

Vin 4

 

 

Nez : printanier, pierre è minéralité ?

Nez : pierre, pétrole.

Bouche : fraîche à nouveau puis agrume, acide & saline, puissante.

Bouche : fumée è minéralité ?

 

 

 

Tout se passe comme à l’accoutumée… sauf que Romain dévoile facétieusement que ces quatre vins sont en réalité issu de la même bouteille, à savoir un muscadet du domaine les Vignes Saint Vincent (Vin 1), puis dosé à 5% avec de l’eau Donat (Vin 2), avec 0.75g/L d’acide tartrique (Vin 3) et assemblé avec 30% de sauvignon (Vin 4)

 

Cette expérience vient à point nommé pour aborder la notion de minéralité dans les vins. En effet, si la définition du substantif « minéral » est des plus précises (est minéral tout composé normalement inorganique défini selon sa composition chimique et l’agencement de ses atomes, ex. : les sels minéraux), la notion de minéralité est, elle, beaucoup plus vague.

Il est tout aussi important de se souvenir que la vigne a besoin d’une quinzaine de minéraux environ, ingérés par l’eau absorbée par le porte-greffe qui plonge ses racines dans le sol. Le facteur déterminant est moins la richesse du sol que la biodisponibilité de ces minéraux.

Quant au descripteur minéral, c’est un terme relativement récent dans le vocabulaire de dégustation. Il n’y a pas de référence commune mais la minéralité recouvre deux champs d’application :

 

·         Une caractérisation d’ordre aromatique, évoquant la pierre à fusil, le caillou, la craie, l’iode, voire le pétrole,

·         Une perception en bouche qui évoque salinité ou amertume. On utilise par ailleurs rarement le terme minéral pour un vin qui n’a pas d’acidité. On peut affirmer que les deux termes se superposent partiellement.

 

Les vins présentés comme minéraux sont plutôt issus de régions septentrionales : Chablis, Muscadet, Sancerre, Pouilly, Rieslings alsacien ou allemand.

Le terme minéral s’emploie aussi pour évoquer des vins qui en vieillissant perdent leurs arômes fruités (primaire) pour des arômes de pierre ou fumés (tertiaire) Cette notion s’emploie donc ainsi pour parler de vins complexes & de caractères : on parle aussi de vins tendus, aériens, purs ou « fins » comme le fait Denis Dubourdieu.

 

Culturellement, le terme est omniprésent, on peut même parler d’un effet de mode qui agit comme un levier mobilisateur d’affect et hiérarchisant, associé à une forme de typicité. Ce terme comporte indéniablement une dimension sociale et confère à celui qui l’emploie un certain respect  voire une certaine aura (et suscite plus rarement de l’amusement…)

 

D’un point de vue chimique, une substance doit être volatile pour être perceptible. Ainsi un caillou n’a pas d’odeur en soir et ce sont les matières organiques déposées à sa surface qui vont dégager une odeur perçue par notre odorat. Il en est de même pour les solutions de sels minéraux : le soufre doit par exemple brûler pour avoir une odeur. En 2003 fut identifiée la molécule responsable de l’odeur de « pierre à fusil », le benzenemethanetiol, composé extrêmement odorant. Son seuil de perception est de

0,3 ng/L et sa concentration dans les vins peut atteindre 30 ng/L soit 100 fois le seuil de perception.

 

Du point de vue sensoriel olfactif, le descripteur minéral devrait être remplacé par des mots plus précis tels que fumé, empyreumatique, thym… En bouche, les éléments minéraux sont susceptibles d’exprimer une saveur et influent sur notre perception des goûts ; ce sont des exhausteurs de goût.

 

Il existe depuis peu des tentatives d’approche de la notion de minéralité se fondant sur des rapports entre matières sèches et cendres. Certaines approches émettent l’hypothèse que le vin est finalement un vaste processus de minéralisation qui démarre dès la vendange

 

Les divergences sont encore nombreuses sur l’interprétation de la notion de minéralité : le besoin de construire un référentiel commun est patent. Voici quelques liens intéressants qui traitent de cette notion :

 

http://www.chateauloisel.com/etude/mineralite.htm

 

http://www.lapassionduvin.com/html/magazine/mineralite.php

 

http://www.denisdubourdieu.fr/fichiers/actualites/act_pj_fr_0005.pdf  

 

Après cette première partie théorique, place à la dégustation à l’aveugle de dix vins venant illustrer le thème de la soirée.

 

Jurançon sec domaine Camin Larredya La Part Davan 2010 (France – 13€) : nez aux arômes de cire, puis banane avec une note sucrée. La bouche est assez grasse avec une finale acide. Assez Bien+.

 

Riesling domaine Clément Lissner Rothstein 2009 (France – Don) : nez pétrole, « pastille de Maalox » pour une participante. La bouche est assez sèche en attaque, puis saline et fraîche. Bien.

   

Muscadet Domaine de la Pépière Les Gras Moutons 2009 (France – Don) : nez citron, puis sucré avec un côté vert. L’attaque en bouche est douce, puis saline et acide. Pas beaucoup de complexité. Moyen.   

 

Riesling Trocken Dr Bürklin Wolf Wachenheimer Gerümpel 2009 (Allemagne – 19.50€) : nez printanier aux arômes de miel et de zeste. L’attaque est sucrée et un peu perlante. La bouche est grasse avec une finale chaude et des notes de pierre à fusil. Beau vin ! Bien+.

   

Pernand Vergelesses Virgine Pillet 2008 (France – 12.90€): nez citron, médicinal avec une note d’alcool. L’attaque en bouche est fraîche, lactée avec une saveur crayeuse, une note d’aspirine. Belle longueur en finale. Bien.

 

Chablis Grand Cru Vaudesir Louis Michel 2008 (France – 25.80€) : nez salin avec une note médicinale et herbacée. L’attaque en bouche est tendue, on trouve ensuite de l’acidité puis une finale acide. Certains dégustateurs parlent d’un « faux tendre ». Bien+.

     

Riesling Hogue Columbia Valley 2008 (USA – 10.80€) : nez pétrole, puis arôme bonbon (smarties) La bouche est sucrée et grasse en attaque avec des notes florales et de bonbon Krema. La finale est acide. Bien+.

http://www.finewinehouse.com/product_images/w/256/b_ff_jriesling__95665_zoom.jpg

 

Sancerre Domaine Gérard Boulay Clos de Beaujeu 2009 (France – 21€) : nez réduit puis frais, avec des notes cassis. L’attaque est aqueuse, puis le vin gagne en puissance avec des notes de piment. Finale acide. Assez Bien.

   

Pinot noir vinifié en blanc Domaine Dirler-Cadé 2006 (France – 11.80€) : nez de champignon blanc, beurré et noisette. La bouche est grillée et acide en finale. Moyen.

 

Riesling Domaine Clément Lissner Wolxchein 2004 (France – Don) : nez oxydatif, noisette et noix avec des notes d’eucalyptus (certains parlent de peinture ou d’atelier de peintre) En bouche, on perçoit des arômes de pomme verte, du gras et une acidité croissante, « acérée » Assez bien.

 

Riesling Oberhagel 1997 Domaine Bohn (France – 12.50€) : nez d’éther et de bonbon. En bouche, notes d’essence avec une belle acidité dès l’attaque. La fin de bouche est puissante avec des notes aspirine. Avis partagés de Moyen à Assez bien.

 

La séance consacre le Jurançon du domaine Camin Larredya, puis le Riesling du Domaine Hogue.

   

A bientôt !

 

 

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